mercredi 26 septembre 2007
mardi 25 septembre 2007
lundi 24 septembre 2007
un peu d'histoire
Extrait de : Inventaire général des Monuments et richesses artistiques de la France. Région Bretagne. Vallée du Blavet. Le canton de Baud 2003. (Coll. Images du Patrimoine. N°235).
Voie ferrée
C´est un choix stratégique et politique qui présida au tracé de la première ligne intérieure de chemin de fer dans le Morbihan : bien que Vannes fût préfecture, il importait de pouvoir relier le plus efficacement possible Pontivy, ville de garnison, au port de Lorient. «Considérant que la ville de Lorient, beaucoup plus importante que celle de Vannes par sa population, son commerce et son arsenal, serait plus fondée que [Vannes] à demander un tracé direct», mais qu´il fallait alors sacrifier les intérêts de Vannes, l´ingénieur Croizette Desnoyers, de la compagnie Paris-Orléans qui assurait la ligne Paris-Quimper, opte pour un tracé partant d´Auray. Adopté en novembre 1862, celui-ci ménageait les susceptibilités vannetaises, bien qu´il nécessitât plus d´ouvrages d´art, en particulier au niveau de la butte de Castennec entre Bieuzy et Pluméliau : deux ponts à quatre arches enjambent le Blavet, encadrant le tunnel sous la butte. Le premier près de Gueltas en Pluméliau, avec une portée de 10 m, est réalisé en moellon régulier sur piles à contrebutée circulaire. Le second, au tracé oblique, d´une portée de 15 m, aboutissait à la gare de 4ème classe de Saint-Nicolas-des-Eaux. Les plans des ponts, tunnels et de la station étaient issus d´un recueil de types édité en 1880 par la Direction des chemins de fer.
Voie ferrée
C´est un choix stratégique et politique qui présida au tracé de la première ligne intérieure de chemin de fer dans le Morbihan : bien que Vannes fût préfecture, il importait de pouvoir relier le plus efficacement possible Pontivy, ville de garnison, au port de Lorient. «Considérant que la ville de Lorient, beaucoup plus importante que celle de Vannes par sa population, son commerce et son arsenal, serait plus fondée que [Vannes] à demander un tracé direct», mais qu´il fallait alors sacrifier les intérêts de Vannes, l´ingénieur Croizette Desnoyers, de la compagnie Paris-Orléans qui assurait la ligne Paris-Quimper, opte pour un tracé partant d´Auray. Adopté en novembre 1862, celui-ci ménageait les susceptibilités vannetaises, bien qu´il nécessitât plus d´ouvrages d´art, en particulier au niveau de la butte de Castennec entre Bieuzy et Pluméliau : deux ponts à quatre arches enjambent le Blavet, encadrant le tunnel sous la butte. Le premier près de Gueltas en Pluméliau, avec une portée de 10 m, est réalisé en moellon régulier sur piles à contrebutée circulaire. Le second, au tracé oblique, d´une portée de 15 m, aboutissait à la gare de 4ème classe de Saint-Nicolas-des-Eaux. Les plans des ponts, tunnels et de la station étaient issus d´un recueil de types édité en 1880 par la Direction des chemins de fer.
La ligne d'Auray à Pontivy
A partir d'aujourd'hui, je vais renter dans l'histoire et la vie de cette ligne abandonnée du trafic voyageur après la dernière guerre.
A l'occasion de la fête de la gare de Lambel Camors organisée par l'association ATA et de la circulation exceptionnelle de la Parber je vais vous proposer des photos de la ligne et des gares de la ligne.
A l'occasion de la fête de la gare de Lambel Camors organisée par l'association ATA et de la circulation exceptionnelle de la Parber je vais vous proposer des photos de la ligne et des gares de la ligne.
mardi 18 septembre 2007
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