mercredi 24 septembre 2008

reseau HO, mise en place du PK et des poteaux téléphoniques









Funiculaire d'origine MKD
poteaux models art diffusion
wagon TP fleischmann
char FT wespe romania
loco Pico modifiée non fonctionnelle

mercredi 17 septembre 2008

lundi 15 septembre 2008

Char Renaul FT 17 en transit à Surzillac






HISTORIQUE
Le Général Estienne fut convaincu, après les expériences du Schneider et du Saint-Chamond, de la nécessité de disposer d'un char léger, apte à entrer et sortir facilement de tranchées et permettant le combat rapproché. C'est à son instigation que Renault entreprit la mise au point d'un tel véhicule.
En mars 1917, le prototype terminé, il restait à choisir l'armement qui l'équiperait. Sa conception demeurait fort simple; le FT-17 (FT pour faible tonnage, 7 tonnes) était formé d'une caisse blindée avec, à l'avant, le poste de conduite, à l'arrière le compartiment moteur et au centre le poste de tir avec une tourelle pouvant pivoter sur 360° (ce fut d'ailleurs le premier char doté d'une tourelle à complète révolution). Le blindage variait de 6 à 22 mm pour les points les plus exposés aux tirs ennemis. Les roulements étaient composés de chaque côté de 4 bogies groupant 9 roues de route, d'un barbotin de 12 dents à l'arrière, d'une roue tendeuse en bois à jante d'acier à l'avant et de 6 galets supports. De larges plaques (340 mm) constituaient les chenilles et assuraient au char un bon comportement sur tous les terrains. Le moteur était un Renault de 4 cylindres, à essence, refroidi par eau, développant 35 CV, conférant au véhicule une vitesse sur route de 7,7 km/h L'armement était représenté, soit par une mitrailleuse Hotchkiss de 8 mm, soit par un canon de 37 mm pour les principales versions, 39 chars ayant reçu un canon de 75 mm. En tout 3 177 chars avaient été construits à la fin de la guerre.

Le Renault F.T.17 reçut le baptême du feu le 31 mai 1918 à Berzyle-Sec et à Chaudun. Il resta en service dans l'Armée Française jusqu'en 1940. Un certain nombre d'entre eux furent utilisés par les Allemands après l'armistice, principalement pour des missions de police. La France exporta un grand nombre de F.T.17. Les principaux utilisateurs en furent les Etats-Unis (qui en construisirent sous l'appellation Six Ton) et la Grande Bretagne. Certains de ces chars ont survécu jusqu'à nos jours et deux exemplaires sont au Musée des Blindés de Saumur.



LE CHAR RENAULT FT-17

Le petit FI 17 Renault fut sans doute l'un des chars les plus réussis parmi ceux mis en service lors de la Première Guerre mondiale. Ses origines remontent aux propositions faites. dès 1915 par le clairvoyant général Estienne, qui voyait bien l'utilité d'un blindé léger pour le soutien direct à l'infanterie. Ce n'est toutefois qu'au milieu de 1916 que les usines Renault furent impliquées dans le projet; elles entreprirent la mise au point d'un modèle pour lequel l'armée avait déjà passé une pré-commande de plus de mille exemplaires. Il fut prêt à la fin de l'année. C'était un char biplace armé d'une mitrailleuse, qui ne suscita pas que des approbations. Il paraissait trop étroit, trop peu armé; pourtant, après confirmation de la commande initiale, les autorités militaires réclamèrent deux mille cinq cents exemplaires supplémentaires. Entre temps un canon de 37 mm avait été installé sur l'engin, mais celui-ci conserva souvent sa seule mitrailleuse d'origine . Le FT 17 est l'un des premiers chars de forme « classique » : armement monté sur une petite tourelle capable d'une rotation de 360° , chenilles placées de chaque côté d'une caisse mince. Il n'existait pas de véritable châssis, les éléments étant fixés directement sur une caisse blindée. Le franchissement d'obstacles se voyait facilité par une queue de stabilisation à l'arrière et par deux grandes roues tendeuses à l'avant. Le moteur se trouvait derrière l'habitacle où était installé l'équipage. Devant l'importance des commandes, Renault fut contraint de faire appel à la sous-traitance. Sollicités, les Américains acceptèrent, mais, comme ils insistaient pour construire l'engin selon des méthodes strictement américaines, aucun des exemplaires construits par eux ne parvint à l'armée française avant l'armistice. En France, une structure octogonale, réalisée avec des plaques de blindage plates, remplaça fréquemment la tourelle d'origine en acier moulé. L'épaisseur maximale du blindage atteignait 16 mm. Le modèle de base connut d'autres variantes: char-canon FI 17, armé d'un canon de 37 mm, qui était le plus répandu ; char mitrailleuse FI 17, plus conforme au projet d'origine; char-canon Renault ES, équipé du canon de 75 mm (automoteur). L'armée française prit livraison des premiers FT 17 en mars 1917, mais ne les lança dans la bataille qu'en mai 1918. Il était prévu de les utiliser massivement, mais les constantes attaques allemandes rendaient la chose difficile. Ils firent donc leurs débuts par petits groupes. Dès juillet, pourtant, les autorités militaires furent en mesure d'en réunir 480 unités lors d'une contre attaque près de Soissons; ils s'y distinguèrent, et dès lors se montrèrent très efficaces en dépit des pertes .

jeudi 11 septembre 2008

Photos de la construction de la ligne en 1885

Type :


image fixe
Créateur / contributeur :


Duclos, J. . Photographe
Titre :


Compagnie des chemins de fer d'Orléans. Lignes de Bretagne et de Vendée / J. Duclos, photogr.
Publication :


[Ecole nationale des ponts et chaussées] ([Paris])

1865-1887
Sujets :


Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans

Ouvrages d'art -- France -- Histoire -- 19e siècle

Nantes-Châteaulin, Chemin de fer (France)

Châteaulin-Landerneau, Chemin de fer (France)

Angers-Niort, Chemin de fer (France)

Nantes-La Roche-sur-Yon, Chemin de fer (France)

Auray-Pontivy, Chemin de fer (France)